En ce mois d’avril 1909, tandis que l’américain Robert Edwin PEARY1 atteint le pôle Nord, et le mercredi 28 à Saint-Servan (Ille-et-Vilaine), Marie Josèphe REGNAULT, de Cancale (Ille-et-Vilaine), mère au foyer et épouse d’Auguste Louis RENAUT, d’Erquy (Côtes-d’Armor) inspecteurs des pêches, donnent naissance à un garçon prénommé Auguste Francis Joseph Marie.
Tout en suivant son père, au gré de ses mutations, Auguste poursuit des études de chaudronnerie et de mécanique. Le 24 septembre 1930, Il s’engage dans la Marine Nationale, à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais). Le 15 octobre 1930, c’est en qualité de matelot breveté provisoire mécanicien qu’il rejoint, à Toulon (Var), le sous- marin « Laplace » à bord duquel, en avril 1931, il obtient son brevet élémentaire et est aussitôt promu quartier maître de 2ème classe. Puis en avril 1932, il est certifié apte à la navigation sous-marine. Début janvier 1933, c’est le débarquement et, après un bref passage dans le 5ème et 1er dépôt, Auguste pose son sac, le 28 avril 1933, à bord du sous-marin « Sibylle » en cours d’armement dans le port de Cherbourg (Manche). Il quitte celui-ci le 1er juin 1934 pour compléter, momentanément, jusqu’en octobre de la même année, l’équipage du tout nouveau sous-marin « Le Glorieux ». Après un court passage à terre, au centre des sous-marins de Cherbourg (Manche), Auguste est affecté, en janvier 1935, sur le sous-marin « Oréade » amarré dans le même port. C’est en tant que quartier maître de 1ère classe, grade obtenu en avril 1935, qu’il en partira dès octobre 1938, afin de suivre une formation à l’école des mécaniciens de Saint-Mandrier- sur-Mer (Var). Entre temps, le 26 août 1936 à Saint-Servan il épouse Marie Rose Jeanne OLLIVIER. De cette union naît, le 28 août 1937, leur fils Norbert. À sa sortie en avril 1939, c’est un mécanicien qualifié et expérimenté qui est inscrit sur le rôle d’équipage du mouilleur de mines « Pluton ». Tout en suivant son père, au gré de ses mutations, Auguste poursuit des études de chaudronnerie et de mécanique. Le 24 septembre 1930, Il s’engage dans la Marine Nationale, à Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais). |
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Le 15 octobre 1930, c’est en qualité de matelot breveté provisoire mécanicien qu’il rejoint, à Toulon (Var), le sous- marin « Laplace » à bord duquel, en avril 1931, il obtient son brevet élémentaire et est aussitôt promu quartier maître de 2ème classe. Puis en avril 1932, il est certifié apte à la navigation sous-marine.
Début janvier 1933, c’est le débarquement et, après un bref passage dans le 5ème et 1er dépôt, Auguste pose son sac, le 28 avril 1933, à bord du sous-marin « Sibylle » en cours d’armement dans le port de Cherbourg (Manche). Il quitte celui-ci le 1er juin 1934 pour compléter, momentanément, jusqu’en octobre de la même année, l’équipage du tout nouveau sous-marin « Le Glorieux ».
Après un court passage à terre, au centre des sous-marins de Cherbourg (Manche), Auguste est affecté, en janvier 1935, sur le sous-marin « Oréade » amarré dans le même port.
C’est en tant que quartier maître de 1ère classe, grade obtenu en avril 1935, qu’il en partira dès octobre 1938, afin de suivre une formation à l’école des mécaniciens de Saint-Mandrier- sur-Mer (Var).
Entre temps, le 26 août 1936 à Saint-Servan il épouse Marie Rose Jeanne OLLIVIER. De cette union naît, le 28 août 1937, leur fils Norbert.
À sa sortie en avril 1939, c’est un mécanicien qualifié et expérimenté qui est inscrit sur le rôle d’équipage du mouilleur de mines « Pluton ».
Le quartier-maître mécanicien Auguste Francis Joseph Marie RENAUT, décède le 13 septembre 1939 à Casablanca (Maroc), lors de l’explosion à quai du mouilleur de mines « Pluton ». Il a été décoré de la médaille militaire, de la croix de guerre TOE avec étoile et reçu une citation à l’ordre de l’armée. La croix de guerre des Théâtres d’Opérations Extérieurs est une décoration française, conférée aux militaires et aux civils qui ont obtenu, pour fait de guerre, une ou plusieurs citations individuelles au cours d’opérations exécutées sur des théâtres d’opérations extérieurs depuis le 11 novembre 1918. Cette décoration peut également être remise aux unités ayant reçu une ou des citations dans les mêmes conditions. Son corps repose au cimetière de « Ben M’Sick » à Casablanca. Son décès est inscrit à la commune de Saint-Servan. Document portant la mention « Mort pour la France » aux Archives départementales d’Ille-et-Vilaine (arrondissement de Saint-Malo). |
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13 septembre 1939
Dans la mythologie romaine, Pluton et ses deux frères, Jupiter et Neptune, renversèrent leur père, Saturne. Ils se partagèrent alors le monde : Jupiter choisit la terre et les cieux, Neptune, la mer, et Pluton le monde souterrain pour devenir le dieu des morts. Pluton eut pour épouse Proserpine (Coré ou Perséphone) qu’il enleva de la terre pour en faire la reine des enfers. Il correspond dans la mythologie grecque au dieu Hadès. On met sur le compte de Pluton, les tonnerres qui grondent pendant la nuit.
Pluton, est aussi le nom donné au corps céleste découvert en 1930, considéré alors comme la neuvième planète du système solaire.
Le croiseur mouilleur de mines PlutonSur le modèle du HMS Adventure2 de la Marine britannique, entré en service au début des années 1920, la Marine nationale décide en 1925 de construire un croiseur mouilleur de mines rapide. Plus petit et plus rapide que l’Adventure, le Pluton pouvait être utilisé en tant que transport de troupe (jusqu’à mille hommes). Les côtés des hangars à mines normalement ouverts, pouvaient être fermés par des panneaux. Ses caractéristiques étaient : longueur 152,5 mètres ; tirant d’eau 5,18 mètres ; déplacement 4 773 tonnes ; port en lourd 6 500 tonneaux ; puissance 57 000 chevaux ; vitesse 30 nœuds. Son armement comprenait 4 canons de 138 mm, 10 canons AA de 37 mm, et pouvait transporter 220 à 270 mines. Son rayon d’action était de 4 510 nautiques à 14 nœuds. Construit par l’arsenal maritime de Lorient (Morbihan), à partir de 1928, il est armé le 25 janvier 1932 et entre en service dans la flotte méditerranéenne. Mais il doit subir à l’arsenal de Toulon des modifications, tant au niveau des machines que du côté du système d’armes, durant les années de 1933 à 1935, et sa dernière phase de réparation comprenant divers travaux sur les machines et les canons se déroule de novembre 1938 à février1939.
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Le croiseur mouilleur de mines PLUTON
Le HMS Adventure (M23) est un mouilleur de mines de la Royal Navy. Il sera gravement endommagé, probablement par une mine allemande le 13 novembre 1939. Trente-trois hommes périront lors de cette explosion. Le mouilleur HMS Adventure est commandé le 18 juillet 1921, sa quille est posée le 29 novembre 1922, son lancement eu lieu le 18 juin 1924, la commission le met en service le 2 octobre 1926, il est envoyé à la casse en 1947. Équipage : 395 personnes et 520 en temps de guerre. Caractéristiques techniques : longueur 152,4 mètres ; maître-bau 18 mètres ; tirant d’eau 4,42 mètres à vide et 5,26 mètres à pleine charge ; déplacement 6 850 tonnes ; port en lourd 8 500 tonneaux ; puissance turbines à vapeur 40 000 chevaux ; moteurs diesel 6 900 chevaux ; alternateurs 6 600 chevaux ; moteurs électriques 6 000 chevaux ; vitesse 27,75 nœuds.
La guerre s’annonçant, le Pluton est de nouveau transformé en mouilleur de mines. Il est intégré, à l’été 1939, dans une escadre de Brest alors que dans un premier temps, transféré à Lorient, en mai 1939, il était destiné à remplacer le croiseur « Jeanne d’Arc » dans son rôle de bâtiment école.
Au début des hostilités, par des renseignements britanniques, l’Amirauté française croit savoir que les croiseurs de bataille allemands ont pris la mer pour opérer en Atlantique et qu’une attaque des côtes marocaines n’est pas à exclure. Dans cette optique, le Pluton reçoit l’ordre d’appareiller pour établir un champ de mines défensif, notamment contre les sous-marins, en certains points du littoral devant les côtes du Maroc. Il part de Brest, en compagnie de la force Raid, le 2 septembre, à 20 heures, avec 125 mines Bréguet embarquées à son bord. Arrivé à Casablanca, le 5 septembre, après avoir quitté son escorte, le Pluton, amarré à la jetée Delure, doit se tenir prêt à mouiller ses mines à partir de la nuit du 11 au 12 septembre. Cependant, les cuirassés allemands, repérés à leur mouillage habituel, ne semblent pas appareiller vers les côtes d’Afrique du nord. Dans ces conditions, l’amirauté rappelle l’escadre de l’Atlantique et donne l’ordre au Pluton de débarquer ses mines et ne faire qu’un simulacre de mouillage. En conséquence, le commandant de la Marine au Maroc, le contre-amiral SABLÉ3, donne l’ordre de commencer, le 13 septembre au matin, le débarquement des mines.
Le débarquement des mines commence à 10 heures 30 sous la direction du capitaine de vaisseau DUBOIS, commandant le Pluton, et sous la surveillance directe du lieutenant de vaisseau LE CLOIREC, chef du service armes-sous-marines de ce bâtiment.
À 10 heures 40, une longue flamme jaillit brusquement du pont arrière, accompagnée d’une forte détonation. Le Pluton est immédiatement enveloppé d’un immense nuage de poussière et de fumée. Une deuxième explosion se produit quelques secondes plus tard ; le pont s’ouvre en entier, un violent incendie se déclare. Les morts sont nombreux, tant sur le Pluton que sur les bâtiments navires avoisinants. Le mazout se répand sur l’eau et s’enflamme. La détonation est entendue à une très grande distance. La déflagration est telle que de nombreuses vitres sont brisées en ville et sur d’autres bâtiments de la Marine, distants d’un kilomètre environ. Les toitures des magasins du port sont enlevées.
L’ordre est donné aux 12 sous-marins présents d’appareiller à 10 heures 53.
À 10 heures 55, le Pluton s’incline sur bâbord et coule lentement.
À 11 heures 07, l’entrée du port est interdite par signal à tout navire.
Le Pluton repose sur le fond
À 11 heures 15, le bâtiment endommagé repose entièrement sur le fond.
3 - Louis Michel Joseph SABLÉ né et décédé à Paris 1881-1959.
La perte du Pluton par l’explosion de ses mines cause également la perte de petits bâtiments de voisinage.
Le port de Casablanca après l’explosion (collection Norbert RENAUT).
Un équipage de cadets d’un canot du navire polonais l’Iskra4, naviguant à l’aviron, à environ 150 mètres par le travers du Pluton observe trois phases :
Une première explosion entre la cheminée arrière et le mât arrière ;
Puis très proche, l’inflammation d’une embarcation accostée à l’arrière ;
Une grande détonation faisant sauter l’arrière du navire entre la passerelle arrière et le pont supérieur. Après l’accident une vedette de l’Iskra se rend sur l’arrière du Pluton et sauve trois hommes blessés, l’un se débattant dans l’eau, l’un dans une embarcation accostée à l’arrière et le dernier sur la passerelle de la plage arrière. L’Iskra appareille presque aussitôt et recueille dix-neuf blessés réfugiés sur la jetée (dont six grièvement). Les premiers soins sont donnés par le médecin de l’Iskra bientôt rejoint par trois médecins de la Marine française.
Rapport du lieutenant de vaisseau LE CLOIREC
« Lorsque l’explosion se produisit sur l’arrière, je me trouvais occupé en compagnie du quartier-maître électricien DUEZ à préparer le débarquement des mines par la grue B. J’eus le temps de voir, avant de tomber, la chute du mât arrière. Je revins à moi entre la cheminée AV et le roof5 AV. Je m’occupais de canaliser les hommes qui sortaient valides ou blessés de toute part. Je fis évacuer le pont des mines sous la direction du maître canonnier COMMANDRE qui montra à cette occasion beaucoup de calme et de sang-froid. Je passai à mon tour sur le quai pour tenter de téléphoner près du hangar 10 pour hâter les secours. Je rencontrai le chef d’état-major du commandement de la Marine au Maroc qui m’assura que les ambulances et le personnel médical arrivaient. Je revins à bord et aida au transport des blessés pour les mettre à l’abri d’une nouvelle explosion. En revenant sur le terre-plein, je vis sauter un des parcs à munitions. Plus tard, sur le conseil des médecins militaires, je me fis transporter à l’hôpital pour me faire panser ».
- « Iskra » signifie littéralement en polonais « étincelle ».
- Un roof (aussi nommé roufle ou rouf), toit en néerlandais, est une superstructure sur le pont supérieur d’un bateau ne s’étendant pas sur toute sa largeur et pouvant être fermée.
Rapport de l’ingénieur-mécanicien principal CANTEL, chef du service machines
Outre les circonstances de l’accident, cet officier mentionne les pertes importantes subies par le personnel du service-machines et le dévouement remarquable de certains marins.
Selon les conclusions de la commission d’enquête, écartant les hypothèses d’une attaque sous-marine ou d’un attentat criminel, l’accident a été provoqué par une explosion accidentelle d’une mine, au cours du désamorçage.
Les instructions en vigueur, édictées par l’État-major de la Marine, et les Directions Techniques du domaine, prévoient que « chaque fois que cela est possible, l’embarquement et le débarquement des mines se font directement sans passer par l’intermédiaire d’un bugalet6 ». Tel était le cas du Pluton, minimisant ainsi les dangers de manipulations des mines. En outre, avant leur débarquement, les mines devant être désamorcées, à bord.
En conséquence, il est vraisemblable que c’est au cours du désamorçage d’une mine que la première explosion se produisit, la seconde ayant été provoquée « par influence ».
La responsabilité du personnel du Pluton, et notamment de son commandant, n’est pas en cause ; ni celle du commandant de la Marine au Maroc qui avait pris toutes les dispositions de sécurité (police sur le quai de débarquement, manipulation à terre des mines débarquées).
Des progrès sont à faire sur le matériel des mines, mais ces engins resteront toujours, par leur nature même, délicats à manipuler.
Par un courrier daté du 19 septembre 1939, le capitaine de frégate BENAC, commandant en second du Pluton
adresse son rapport au contre-amiral, commandant la Marine au Maroc.
Dans ce rapport, il ne peut donner avec exactitude l’effectif du nombre des présents à bord. La situation du bâtiment en personnel était la suivante : 17 officiers, 494 hommes d’équipage, 1 hospitalisé à terre, soit un total de 512 hommes ; cependant, il certifie que le total de l’équipage ne dépassait pas 497.
Par un courrier daté du 8 décembre 1939, la Direction du Personnel Militaire de la Flotte (bureau des équipages) donnait au Contrôleur Général, chef de la section administrative du cabinet du ministre de la Marine, la liste nominative du personnel officier et non officier disparus lors de l’explosion du croiseur mouilleur de mines Pluton. Cette liste comprenait 9 officiers, dont le commandant, et 162 officiers-mariniers, quartiers-maîtres et matelots
« présumés disparus ».
Par un courrier daté du 6 décembre 1956, le capitaine de vaisseau ROSTAND, chef du service historique, faisait un rappel historique de la perte du Pluton à l’attention du médecin général, directeur de l’école principale du Service de Santé de la Marine de Bordeaux. Le constat des pertes en vies humaines était le suivant :
Sur le Pluton
officiers : 10 tués ou disparus, 2 blessés sur 17 officiers.
équipage : 186 tués ou disparus, 73 blessés, sur 497 hommes.
Parmi le personnel du Centre de la Marine au Maroc
officiers : 1 tué, 1 blessé.
hommes : 19 tués ou disparus, 29 blessés.
En outre, un officier polonais, embarqué sur le torpilleur polonais « Wilja », amarré dans le port a également été blessé.
La note de synthèse sur le drame du Pluton, que j’ai établi, donne une liste nominative du personnel officier et non officier disparu lors de l’explosion du Pluton. Cette liste comprend 9 officiers, dont le commandant, et 173 membres de l’équipage.
6 - Bâtiment de servitude, généralement à deux mâts, employé dans les ports au transport des poudres, des munitions.
Tous les marins de la dernière liste ci-dessus sont enterrés au cimetière de Ben M’Sick à Casablanca, en compagnie des autres marins du torpilleur « La Railleuse » qui coula dans le port le 23 mars 1940.
Pour ce qui concerne les marins du Pluton, la plupart des inscriptions sur les tombes portent la mention :
« Inconnu - Le Pluton - Mort pour la France le 13.09.1939 ».
Ces tombes sont très bien entretenues par « Le Souvenir Français ».
Cette tombe est celle du marin Auguste RENAUT, mon père (collection Norbert RENAUT).
Les photographies des 13 marins suivants sont apposées sur les parois des cryptes du cénotaphe, partie intégrante du Mémorial national des marins morts pour la France situé à la pointe Saint-Mathieu en Plougonvelin (Finistère). Leur histoire peut être consultée sur le site internet de l’association « Aux Marins » : www.auxmarins.net
BOUREAU Daniel Louis, ° Choignes (52) 18.09.1918 ; CELTON Pierre Marie, ° Ploaré (29) 13.09.1912 ; GALLOU Jean François, ° Ploudaniel (29) 22.05.1919 ; Pierre Jean Marie GEFFRAY, ° Kerlouan (29) 13.04.1908 ; GILOUS Jean Louis Joseph Marie, ° Plounévez-Lochrist (29) 09.08.1921 ; GOURIOU Charles Yves Marie,
° Plouguiel (22) 15.05.1922 ; LAYEC Pierre, ° Sarzeau (56) 29.04.1914 ; LOAËC Théophile Marie, ° Landéda 29.05.1918 ; MENEUR Clet Jean, ° Saint-Pierre-Quilbignon (29) 07.06.1908 ; ORHAN Paul Jean Augustin, ° Plourhan (22) 13.04.1914 ; RENAUT Auguste Francis Joseph Marie, ° Saint-Servan (35) 28.04.1909 ; THOMAS Alphonse Julien Louis Marie, ° Sérent (56) 27.06.1905 ; TRILLON Francis.
Afin de permettre d’honorer la mémoire des autres marins du Pluton, leurs familles sont priées de contacter l’association « Aux Marins » : assauxmarins@orange.fr ou 02 98 38 07 79.
Georges KEVORKIAN, responsable de la commission recherches historiques de l’association « Aux Marins » a mis en ligne sur le blog « http://www.amedenosmarins.fr/ » (dans la case « recherche » mettre « pluton » puis cliquer sur recherche) ce dossier que j’ai établi à la mémoire de mon père.
Service Historique de la Marine au château de Vincennes.
Divers sites sur internet relatifs au croiseur mouilleur de mines Pluton.